Qui suis-je ?

Je m’appelle Bridget Hella, j’ai 17 ans, 18 en novembre, et je suis d’origine belge. Je suis née le 16 novembre 1999 à la clinique d’Ottignies.

J’ai une grande sœur, Bérangère, qui fait des études de langues à l’université catholique de Louvain-la-Neuve. Après cela, elle aimerait faire communication afin de travailler dans les organismes envoyant les jeunes en échanges car elle a vécu une très belle expérience en Espagne et aux Etats-Unis il y a de ça 2 ans.

Mes parents sont toujours ensemble tout comme mes quatre grands-parents. Ce sont les personnes les plus importantes à mes yeux !

Je suis en couple avec un garçon appelé Antoine. Tout comme ma famille, il occupe une très grande place dans mon cœur et dans ma vie.

Mes amis comptent, évidemment, beaucoup pour moi également.

J’aime l’équitation mais je n’en fais plus depuis 3 ans. J’aime également voyager, un jour j’aimerais voir le monde. Je sors également beaucoup pour voir mes amis. Selon moi, après la musique, il n’y a rien de plus thérapeutique qu’une soirée entre amis autour d’un verre.

Avant, je faisais aussi énormément de choses avec ma sœur mais nos chemins se sont légèrement séparés depuis que nous nous sommes dirigées dans le monde des adultes.

Je suis très entourée mais je compte mes amis proches sur les doigts d’une main. Je n’ai pas besoin d’amis de passage.

 

Je suis plutôt calme et discrète mais aussi timide et très stressée. J’ai plutôt un fort caractère même si ça ne se voit pas. Je suis également honnête et je fonctionne beaucoup à la confiance.

Je suis sortie de technique de qualification avec mon diplôme d'éducatrice, mais je ne voulais pas m'arrêter en si bon chemin. Selon moi, ce travail ne me permettrait pas d’être un pilier pour les enfants, d’avoir un impact. J’ai toujours eu envie de me dire « J’ai fait quelque chose pour lui. Je l’ai aidé à devenir la personne qu’il est ». J’ai choisi de faire des études d’institutrice primaire après de longues hésitations. J’ai pris ce chemin-là après avoir fait mon stage dans l’enseignement spécialisé avec des enfants du type 3 car ces enfants m’ont énormément touché par leur vécu mais aussi par leur manière de rendre au centuple le peu que nous pouvions leur donner. Je voulais également faire psychologue. J’aime beaucoup la psychologie et c’est un chemin qui ne m’aurait pas semblé désagréable de prendre. J’hésite d’ailleurs à faire une passerelle de 3 ans après mes études. 

 

Ma famille
Ma famille
Mon amoureux
Mon amoureux

Je me présente autrement....

Mes bagages

Mon bagage en ce début de première année d’institutrice primaire, je le dois au fait d’avoir effectué mes dernières années de secondaires en agent d’éducation car celui-ci m’a permis de côtoyer, à plusieurs reprises, divers publics tel que des enfants de maternelle, de primaire, mais également des personnes âgées et ayant un handicap.

Cela m’a permis d’acquérir plusieurs forces comme le contact avec des enfants d’âges et de comportements divers, une certaine organisation, la capacité d’anticiper les événements à l’avance afin d’éviter au maximum les imprévus, de la patience et aussi le fait de garder une certaine distance avec les enfants tout en construisant une relation de confiance et de complicité dans un respect mutuel. 

En plus, de ce contact, j'avais certaines bases dans certains cours tels qu'éducation corporelle et psychomotricité, psychologie du développement et en géographie.

 

Mes motivations

 Après mes études d'éducatrice, j'avais cette soif d'évoluer. Je voulais faire plus, or, ce travail ne me permettrait pas d’être un pilier pour les enfants, d’avoir un impact. J’ai toujours eu envie de me dire « J’ai fait quelque chose pour lui. Je l’ai aidé à devenir la personne qu’il est ». J’ai choisi de faire des études d’institutrice primaire après de longues hésitations. J’ai pris ce chemin-là après avoir fait mon stage dans l’enseignement spécialisé avec des enfants du type 3 car ces enfants m’ont énormément touché par leur vécu mais aussi par leur manière de rendre au centuple le peu que nous pouvions leur donner. Je voulais également faire psychologue. J’aime beaucoup la psychologie et c’est un chemin qui ne m’aurait pas semblé désagréable de prendre. J’hésite d’ailleurs à faire une passerelle de 3 ans après mes études.

Mes forces, mes compétences

 Je dirais que mes forces sont les mêmes que mon bagage, mes bases dans quelques cours ainsi que mon contact avec divers publics.

Je dirais également que j'ai une certaine force de caractère qui me pousse à persévérer. J'ai l'envie de réussir et j'aime m'investir dans ce que je fait, quand j'estime que ça en vaut la peine.

Lors de mes stages par exemple, je sais que je ferai de mon mieux pour mon matériel, pour ma prestance, pour apprendre aux enfants et pour leur offrir autant qu'ils m'offriront.

Mes faiblesses et mes craintes

Mes points faibles sont, selon moi, ma timidité qui me bloque dans énormément de démarches tel qu’imposer directement mon autorité et mes règles, mon stress qui me fait perdre parfois mes moyens et ma difficulté à sanctionner de manière pertinentes mes bénéficiaires.

Pour m’améliorer, je dois vaincre ma timidité en ayant plus confiance en moi et en osant plus, je dois canaliser mon stress afin de ne pas me laisser submerger par celui-ci et je ne dois pas hésiter à poser des questions à mon maître de stage afin qu’il me donne des conseils. Je peux également m’inspirer de sa manière de fonctionner.

J’attends de ma formation pédagogique un certain apprentissage au niveau de la gestion d’une classe, au niveau de l’attitude à adopter en tant qu’institutrice et surtout au niveau de la transmission correcte d’informations entre moi et mes élèves. A la fin de cette année, j’aimerais être capable de tenir une classe et de donner cours à des élèves de façon correcte, complète et de manière à ce que la matière enseignée soit acquise.

Mes craintes cette année et face à mon stage sont mes faiblesses mais aussi le fait de me retrouver dans une situation encore inconnue que j’ai peur de ne pas savoir gérer. Les outils qui me seraient utiles pourraient être, comme je l’ai dit plus haut, un apprentissage pour savoir gérer ma classe et enseigner correctement grâce à des mises en situations et grâce à des conseils de la part des différents professeurs.

Les questions que je me pose sont les suivantes :

  • Comment appréhender mon stage ?
  • Comment m’organiser face à mon stage et face à cette année ?
  • Comment gérer mon blocus ?
  • En stage, quelles sont les attitudes que je devrai adopter face à mes élèves, face à mon maître de stage et face aux parents de mes bénéficiaires ?
  • Quels sont mes outils et mes personnes de référence en cas de difficultés durant l’année et durant mon stage ?

 

Je me demande aussi comment va se dérouler l’année et j’appréhende beaucoup ce nouvel univers.

Selon moi, l'enseignant idéal et compétent

Pour moi, l’enseignant idéal et compétent est un enseignant qui fait passer le bien-être des enfants avant toute chose, c’est-à-dire, qui comprend qu’un enfant peut avoir des difficultés personnelles et qui ne se fixe pas essentiellement sur la nécessité d’apprendre et d’enseigner bien que ce soit une part très importante du métier.

C’est également une personne compréhensive, à l’écoute, présente mais aussi respectueuse. Un enseignant doit, selon moi, pouvoir s’adapter aux difficultés de chacun et accepter les enfants tels qu’ils sont et dans leur intégralité.

Il doit pouvoir enseigner de diverses manières : ludique, par atelier, théorique, …

C’est une personne qui, au-delà de la matière, inculque des valeurs aux enfants.

C’est quelqu’un qui a un impact dans la vie des enfants et qui participe à ce qu’ils deviennent.

La principale tâche d’un enseignant est donc de faire évoluer les enfants et de les préparer au monde extérieur.

Selon moi, les problèmes qu’un(e) instituteur (institutrice) rencontrent sont de trouver une méthode de travail adaptée à chaque enfant, s’adapter aux difficultés de chacun, donner confiance en soi aux enfants et les faire évoluer dans de nombreux domaines.

Hors de la classe, son travail consiste à préparer des activités, des leçons, des moyens d’apprendre aux enfants mais aussi de s’organiser, de planifier et de s’instruire, d’apprendre davantage pour inculquer encore plus aux enfants.

Ce qui parait le plus intéressant dans ce métier, c’est, selon moi, toutes les différentes approches et relations que l’on peut construire avec des enfants tous très différents les uns des autres et c’est l’approche diverse d’une multitude de matières à enseigner. 

 

L'objet

 L’objet que j’ai apporté est un livre de leçons qui pourraient être faites avec des enfants.

 

J’ai choisi cet objet car il représente une partie essentielle du métier d’instituteur. Il caractérise le fait de planifier, d’organiser des leçons, de travailler une matière, de connaitre une matière afin de l’enseigner, mais il représente aussi l’évolution des enfants à travers cette apprentissage.

Les objets que j’ai trouvé pertinents sont le dé parce qu’il représente les diverses facettes et missions d’un enseignant, les bics car il désigne le fait de faire évoluer, de montrer aux enfants où ils se trompent afin qu’ils puissent s’améliorer par la suite, les agendas car le métier d’instituteur est en grande partie composé d’une organisation parfaite afin de savoir quoi faire, quand le faire, comment le faire et enfin, la fleur car elle représente l’enseignant et ses élèves. Le pot est l’enseignant, l’engrais est ce qu’il apprend aux enfants et l’évolution de ceux-ci et la fleur et ses pétales représentent les enfants qui grandissent et mûrissent au fil du temps et au fil de leur apprentissage.

Ma perception de l’enseignant a évolué, non pas dans de nouveaux domaines, mais dans l’importance d’insister dans ce que je considère essentiel et dans tout ce que représente ces objets.

Mes souvenirs de primaires...

Lorsque j’étais en troisième primaire, nous faisions un projet sur les loups. Afin d’introduire la matière, nous avions visionné des documentaires et nous avons fini par visiter une base militaire qui avait une prairie avec trois loups. Nous avons pu pénétrer dans celle-ci et découvrir les loups à l’état naturel.

Cette expérience me fait réaliser qu’il est très agréable d’apprendre de cette façon, à travers des projets et des excursions.

Etre enseignant c’est prendre le temps d’organiser cela, d’enseigner de manière ludique et d’explorer des domaines avec les enfants au-delà des feuilles mais de manière concrète.

J’ai également de très bons souvenirs des activités musicales que nous faisions avec cette même institutrice. Nous apprenions en chanson. Nous avions également formé une chorale dans laquelle tous les élèves voulant participer et ce, peu importe l’année, se réunissaient.

Lorsque je suis partie de cette école pour effectuer ma cinquième et ma sixième primaire dans mon village, j’ai découvert une institutrice, Madame Dominique. Celle-ci était dévouée, mais stricte et se battait pour la réussite de ses élèves. Elle laisse un très bon souvenir dans ma mémoire car elle a participé à me former.

https://www.youtube.com/watch?v=wqzhSiypoYY